Nouveau concours

Pour la fic, pas de limite de longueur, c'est à vous de voir ...

oki merci ^^

Je m'inscris pour le concours n°1!!

Ben oui lol enfin t'as tout le temps de faire des finitions si tu veux lol tu as encore plus d'un mois !

Titre : Jour de repos

Auteur : SuperMiss - Rin

Disclaimer : les personnages ne m’appartiennent pas, mais visiblement ça ne m’empêche pas d’en faire n’importe quoi ^^

Genre : Humour - one-shot

Notes : réponse à un challenge « écrire une fic comportant les mots balançoire, guitare, mouchoir, miroir, passoire »… (je sais, c’est n’importe quoi, tout comme la fic ^^) - saison 3 pas de spoiler - OCxTeyla et RononxTeyla suggérés

Jour de repos

1. Ce matin-là, Sheppard eut le sentiment en ouvrant les yeux que la journée allait l’énerver. Aucune mission programmée pour les deux prochains jours -- ils étaient tombés dans une embuscade, Teyla s’était foulée la cheville et Elisabeth avait décrété qu’il avait tous besoin de se reposer -- et un rhume effroyable qui ne le lâchait pas. Aussi il se réveilla tout en sachant que quoi qu’il fasse son mal de crâne et le bourdonnement dans ses oreilles l’empêcherait de profiter de ce repos.

Il rampa hors du lit plus qu’il ne se leva, repoussant la couverture parsemée de mouchoirs usagés et des paquets de chips vides. Le fouillis faisait plus penser à une chambre d’adolescent qu’à celle du militaire le plus haut gradé sur une expédition extragalactique d’une telle envergure.

Pour l’heure l’expédition se limitait à retrouver la porte de la salle de bain. Quand il aperçut sa tête dans le miroir, se tenant que rebord du lavabo, il soupira en se disant que finalement ce n’était pas si mal qu’il n’ait pas à partir en mission ; s’il avait rencontré un Wraith, il lui serait resté deux solutions : espérer l’effrayer avec sa tête de déterré ambulant ou lui éternuer dessus. Il tenta vainement de se coiffer, mais renonça très vite -- pour une fois qu’il aurait une vraie excuse à ajouter au sempiternel « j’ai des cheveux récalcitrant ».



2. « J’en ai marre, arrêtez de vous moquer, » s’écria Sheppard, ce qui, à cause de son nez bouché, sonnait plus comme « J’en d’ai barre, arrêtez de bou boquer. » Et McKay riait sans pouvoir s’arrêter.

Il n’y avait personne dans les labos ; d’après ce que Sheppard avait cru comprendre, McKay avait renvoyé tout le monde à ses petites occupations, gardant le grand labo pour lui tout seul. Enfin… il était seul jusqu’à ce que Sheppard pointe son nez bouché, amenant avec lui ses tentatives pathétiques pour tenir une conversation normale et ses mouchoirs répugnants. Il le lui fit savoir d’un ton acerbe, sans lever les yeux de son écran. Un grognement lui répondit.

Il se replongea dans l’analyse du nouveau code qu’il mettait au point pour les ordinateurs, et son visage se ferma de nouveau ; il n’écoutait plus. Sheppard était assis sur un des bureaux derrière lui, et de là où il était, le scientifique aurait tout aussi bien pu rédiger un roman en klingon. Le silence avec juste le cliquetis du clavier était plutôt oppressant et sa tête semblait comme prise dans un étau. L’éclairage clignotait au-dessus de lui et ça aussi ça commençait à l’énerver. Une bonne rafale de P-90 et tout serait réglé -- et ils se retrouveraient dans le noir, rectifia-t-il mentalement.

« McKay ? » Pas de réponse. Sheppard soupira et s’allongea en arrière sur le bureau, les jambes dans le vide. La lumière devenait hypnotique. Il ferma les yeux et essaya de nouveau. « McKay ? » Il s’ennuyait à mourir ; la seule chose qui pourrait le sauver était de pousser quelqu’un d’autre au suicide avant la fin de la journée.



3. Teyla, elle, était plutôt soulagée de ne pas avoir à partir en mission avant quelques jours. Elle pouvait marcher, mais sans forcer, et en cas d’attaque elle aurait été un piètre renfort, de surcroît incapable de courir. Aussi elle clopinait dans un des couloirs de la cité, en direction des cuisines. Elle avait rendez-vous avec un des chefs, le major Giovanni Nutini, un Italien qui faisait des blagues étranges qu’elle n’était pas sûre de toujours comprendre, mais dont le charme, elle devait bien l’admettre, ne la laissait pas indifférente.

Il l’attendait, appuyé contre la porte coulissante des cuisines, tout de blanc vêtu. Il lui fit un grand sourire, elle le salua à la manière des Atosians. « Qu’est-ce que c’est ? » demanda-t-elle en désignant l’ustensile métallique qu’il avait dans les mains. « C’est une passoire. On va en avoir besoin pour les pâtes, mais il faut d’abord préparer la sauce… » Ils rentrèrent tous les deux dans les cuisines et les portes se refermèrent avec derrière eux.



4. McKay se tenait au bureau d’une main et se servait de sa chaise comme d’une balançoire, tout en discutant vivement avec Sheppard. Non, ce n’était pas du klingon, et non il ne savait pas le parler, alors programmer des logiciels avec sûrement pas. Sheppard, toujours allongé sur un bureau un peu plus loin, entouré de mouchoirs roulés en boule, soutenait sans en démordre qu’il était impossible qu’un génie asocial tel que lui n’ait pas regardé Star Trek dans son enfance. La conversation s’était envenimée quand McKay avait lancé que ce n’était qu’une série débile bourrée d’invraisemblances scientifiques flagrantes.

« Bou dites d’importe quoi ! » Il maudit intérieurement son rhume et tant qu’il y était la journée tout entière, les suspensions de mission et les scientifiques pédants. Il s’attendait à une réplique cinglante mais tout ce qu’il entendit fut un juron étouffé et le bruit de quelque chose qui s’écroulait.

« McKay ? » Pas de réponse, mais cette fois il ouvrit les yeux et se redressa -- trop vite, la tête lui tourna et il eut l’impression que son cerveau palpitait derrière ses yeux. Cherchant le scientifique du regard et ne le voyant pas, il se releva tout à fait.

« Rodney ! » Ce dernier gisait par terre, à moitié assis sur la chaise renversée. « Qui c’est qui a l’air con maintenant ! » claironna Sheppard. Mais McKay ne bronchait pas ; Sheppard s’agenouilla près de lui, à peu près sûr que le scientifique le faisait marcher, mais quelque chose au fond de lui-même lui disait que vu la journée de merde que c’était, ça ne devait pas être le cas.

Il fit claquer ses doigts près du visage du scientifique, qui avait la bouche un peu ouverte, comme un poisson échoué, en disant d’une voix nasillarde : « Eh oh, Pegasus appelle le scientifique écrasé ! » McKay ouvrit les yeux, apparemment sans le voir tout à fait. « Même pas fichu de tenir sur une chaise… » fit Sheppard en riant.

McKay aurait voulu répondre quelque chose d’acerbe et de bien trouvé du genre : « Pour ce qui est des accidents domestiques vous pouvez parler ! » Mais aucun des mots ne parvint à se former. Tout son esprit était concentré pour répondre à une question stupide : qu’est-ce que je fiche part terre ? Et puis il avait envie de vomir.

« Qwmmmgnfpar terre ?

-- Si vous le dites, » répondit Sheppard en l’aidant à s’asseoir.

Son crâne le lançait affreusement ; il essaya d’évaluer l’étendue des dégâts d’une main, et ramena devant lui des doigts poisseux de sang. Il leva des yeux affolés sur Sheppard ; le même regard que dans les situations de crise, il ne manquait que la voix aiguë et paniquée.



5. Au début, Teyla avait été aux anges, elle adorait cuisiner, pour elle s’était comme apprendre une nouvelle culture. De plus le professeur était séduisant et sympathique ; mais un peu trop entreprenant tout de même. Il avait des manœuvres d’approches dignes d’un atterrissage sur un porte-avion en pleine tempête ; du genre ça passe ou ça coule.

Pour le moment ça coulait plus qu’autre chose, une des casseroles commençait à fumer dangereusement et Teyla faisait la tête depuis que Giovanni lui avait fait remarquer un peu trop souvent à son goût combien elle ne maîtrisait pas tout un tas de références culturelles et d’expressions terriennes. Puis le bruit d’une dispute lui parvint depuis le couloir. Casserole et cuiller en main, elle sortit voir ce qui se passait, plantant là le bel italien.


6. McKay avait finalement refusé que Sheppard appelle Beckett et une civière pour l’emmener à l’infirmerie. Pendant un instant Sheppard s’était dit que le scientifique avait peut être un soupçon d’amour-propre quelque part au fond de lui. Il payait maintenant les frais de sa naïveté, soutenant le scientifique qui n’arrêtait pas de gémir et de s’écrier qu’il allait se vider de son sang.

L’entaille n’était pas si profonde ni l’hémorragie si conséquente, mais Sheppard était un peu décontenancé par la confusion visible du scientifique. En même temps, aussi longtemps qu’il continuerait à râler, il n’y aurait pas trop de soucis à se faire.

Puis McKay aperçut Teyla, sur le pas de la porte, revêtue d’un tablier, un peu de farine sur la joue et une casserole à la main. Il dut trouver l’image cocasse car il se mit à rire soudain sans plus pouvoir s’arrêter. Il cessa d’avancer, se tenant à Sheppard pour ne pas tomber. Il n’aurait pas su dire clairement ce qu’il trouvait comique, mais Sheppard comprit en levant les yeux à son tour, contemplant soudain une photo d’un magazine des années 50 ventant les mérites de la femme parfaite -- à la mode d’Atlantis.

« Colonel? Est-ce que tout va bien ? » Ils devaient avoir l’air de deux épaves se soutenant mutuellement et l’inquiétude se lisait sur le visage de Teyla. Sheppard agita la main pour lui faire signe de ne pas s’en faire et dit : « C’est rien, il est tombé… »

Une voix s’éleva tout à coup depuis la porte : « Teyla chérie? Il y a un problème ? » Et quand l’étalon italien passa la tête par l’embrasure, Sheppard réprima à son tour une envie de rire. Teyla lui lança un regard noir et se débarrassa du tablier et de la casserole. « Vous, la ferme ! » Puis se tournant vers Sheppard : « Laissez-moi vous aider. » Et elle saisit l’autre bras du scientifique qui gloussait bêtement, les yeux dans le vague.



7. Ils n’avaient avancé que de quelques mètres dans le couloir aux larges baies vitrées, bande d’éclopés en route vers l’infirmerie. Sheppard commençait à regretter de ne pas avoir appelé Beckett dès le départ. Teyla boitait mais ne disait rien et l’énervant major cuisinier les suivait de près en essayant vainement de s’excuser.

Et McKay voyait le sol avancer, mais il n’était pas certain de marche. Sa tête roulait en avant et il avait du mal à garder les yeux ouverts. Dans son esprit les pensées patinaient un peu, il avait du mal à situer la scène. Ils étaient dans un tunnel, ça il le voyait bien, et la lumière baissait à vue d’œil. Avaient-ils été attaqués ? En tout cas il lui semblait bien que des Italiens les poursuivaient.

Quand le Satedan apparut devant eux, avec ses drôles de cheveux et son air de grizzly sorti de sa grotte, une guitare sèche entre ses grandes mains, il se dit qu’il devait vraiment être en train d’halluciner. Ce que dit Ronon en s’approchant, la dispute puis la bagarre qui s’en suivirent, McKay n’en eut qu’un aperçu flou avant de s’évanouir pour de bon.



8. Il y avait comme de la musique, et McKay rêvait qu’ils étaient autour d’un feu de camp, dans la forêt. Ronon jouait de la guitare, lançant des oeillades à Teyla qui le regardait par en dessous en souriant un peu… Tout cela n’était pas normal. Et puis Sheppard n’était pas là, pourtant il l’entendait râler. Ça non plus ce n’était pas normal.

Il ouvrit les yeux, encore à moitié dans son rêve, et essaya de faire le point. Plus de forêt, mais toujours la guitare -- un peu désaccordée. Bon. Il tourna la tête et vit tout d’abord Sheppard assis près du lit sur une des chaises de l’infirmerie ; une perfusion dans le bras et un gros bleu sur la joue. Puis Ronon et Teyla, beaucoup moins mutins que dans son rêve, mais visiblement en plein début de quelque chose qui s’apparenterait à une romance. Il y avait un autre gars, sur un lit un peu plus loin, apparemment inconscient et bien amoché.

McKay se redressa, bougonnant tout haut qu’il avait mal au crâne et qu’il aimerait bien qu’on lui explique ce qu’il se passait, bon sang. Sheppard tourna vers lui sa tête des mauvais jours, plus ébouriffée que jamais.

« A peine réveillé vous râlez déjà ! Enfin c’est pas trop tôt quand même, je commençais à me demander si Beckett ne vous avait pas drogué… »

McKay remarqua alors la perfusion au creux de son bras, reliée au goutte à goutte près du lit. « Mmm, qu’est-ce que c’est que ça ?

-- Vous vous êtes évanoui à cause du choc à la tête, tout ça, mais notre cher docteur a dit que vous faisiez de l’hypoglycémie ou je sais pas quoi. »

Au lieu de prendre un air triomphant et de claironner quelque chose du genre « Ah ah, c’est bien ce que je me tue à vous dire depuis des années ! », McKay se contenta de soupirer. Il avait mal à la tête et il se sentait plus qu’idiot. Heureusement, il avait encore ses fringues, et pas une de ces stupides blouses d’infirmerie.

« Et vous, qu’est-ce qui vous est arrivé ? », demanda-t-il, faisant référence au bleu et à la perf.

-- Il parait que je fais une réaction allergique à des pollens pégasiens, » dit-il avec une grimace, « Beckett a fait un prix de groupe pour les perfusions… » Puis touchant sa pommette du bout des doigts : « Et ça c’est ce con de cuisinier là-bas. Il tape dans tous les sens, mais il a vite fait de défaillir face à notre runner (1). »

Rapide coup d’œil en direction dudit runner. La guitare avait un drôle de son depuis qu’elle avait servi à taper sur la tête d’un rival trop entreprenant.

« Je ne sais pas vous, mais j’aurais vu sa parade amoureuse plus… violente. Incluant des armes quoi, » fit McKay sans trop élever la voix. Sheppard se mit à rire soudain. « Entre ses mains, même une guitare est une arme. »



(1) Sur le coup je suis absolument incapable de me souvenir si la VF a donné une traduction pour ça…

Alors ? Bien pas bien ? Dites-moi tout ^^

je m'inscris pour un dé je pense ^^

Elle est bien ta fic Rin! Mais pourquoi tu parles de VF? t'as pmpé quelque part?

Teyla c'est un ET?

Je le savais, que tu pactisais avec EUX !!

Et du coup elle leur rend un hommage spécial dans sa fic! Rin t'as pas honte!

J'avais dit que je m'inscrivais pour un dé mais apparament je ne crois pas que tout le monde l'ai vu parce ce que je ne suis toujours pas inscrite!!!

Ok je m'en occupe!

Voici ma Fic, comme il reste encore du temps je changerai peut-être quelques détails, mais l’histoire restera la même.
L’histoire est écrite par moi, tapée par moi, mais, comme l’a dit Rin : les personnages ne m’appartiennent pas, ils viennent de TRC. Ce qui est pratique avec ce manga c’est que les auteurs originaux sont déjà très proches du n’importe quoi, du coup je choque pas trop.

Note : F=Fye, K=Kurogané, Sh= Shaolan, Sa=Sakura, M=Mokona.

Un dernier détail : Vous allez croire que je fais du sexisme, mais non pas du tout, d’accord Sakura est un peu laissée de côté mais c’est pour des raisons pratiques !

_________

Pays de Shibai


F : Mokona sens-tu la présence d’une plume de Sakura dans les environs ?
Sh : A mon avis oui.
Il désigna une pancarte suspendue au fond de la salle. Ils devaient se trouver dans le hall d’un palais car l’endroit était immense et le sol en marbre. Une centaine de personnes y était attroupée et plusieurs jouaient de la guitare ou de le la mandoline ce qui avait rendu leur arrivée inaperçue.
F : « Concours de théâtre ; cette année : « La belle aux bois dormant ». Récompense : La plume de la meilleure troupe. » Je pense que nous devrions nous renseigner au guichet.
K : Allons-y !!
Sa : Mokona cache toi !

F : Bonjour monsieur, pourriez vous nous expliquer les règles du concours s’il vous plaît ?
Monsieur : Oui. Chaque année nous choisissons un conte célèbre que nous transformons en pièce et découpons en scènes. Chaque troupe inscrite reçoit une scène. A partir de là elle dispose d’une journée pour apprendre son dialogue puis elle le joue devant tout le monde. La troupe jugée la plus convaincante par le roi reçoit une plume.
K : Cette plume a des pouvoirs spéciaux ?
Monsieur : Non, elle est juste symbolique.
Sh : Nous voulons nous inscrire.
Monsieur : Très bien vous êtes trois, vous jouerez la scène finale. Nom de la troupe ?
Sa : Nous somme quatre!
Sh : Sakura !
Monsieur : Très bien, nom de la troupe : « Sakura ». Non, mademoiselle les femmes n’ont pas le droit de s’inscrire. Messieurs voici vos dialogues et vos costumes. La représentation débute à 18h.

Sh : Je suis désolé princesse, qu’allez vous faire pendant que nous travaillerons ?
M : Sakura-chan va faire de la balançoire avec Mokona !
Sh : Princesse ?
Sa : Oui, je vais aller me promener, je vous retrouve ce soir ?
Sh : Soyez prudente.
Sa : Pas de problème Mokona me protège !
M : Et Mokona il est très méchant : grrrrr…

***

F : Alors nous avons un prince charmant, une princesse et une méchante sorcière. Dans cette scène la princesse a été plongée dans un profond sommeil par la sorcière, le prince vient la tuer (la sorcière ! pas la princesse) puis il délivre la belle de l’enchantement par un véritable baiser d’amour…
K : En gros la tapette bute la vieille et profite de princesse dans son sommeil, c’est ça ?
F : Quel lyrisme ! Kuro tu es affligeant !
Sh : Et qui prend quel rôle ?
F : On va tirer au sort... … …Prenez chacun un petit papier !... … …(ironique)Quelle chance je suis Aurore, c'est-à-dire la princesse !
Sh : (tout aussi ironique) Super je suis Maléfique : la sorcière !
K : Fais ch*er je suis la tapette !! Je refuse de jouer !
F : Arrête de te plaindre tu n’aurais de toutes façons pas voulu être ni la reine ni la princesse, alors penses à Sakura et tais-toi !
Sh : Commençons à répéter.

***
Quelques heures plus tard :

F : Récapitulons : Kurogané, tu arrives sur scène et cherche ta bien-aimée du regard, tu l’aperçois et te diriges vers elle lorsque Shaolan surgit de nul part.
Sh : Et c’est où « nulle part » parce que je ne maîtrise pas l’art de la téléportation et je ne peux pas non plus sortir d’un mouchoir…
F : Tu te cacheras derrière le lit et jaillira subitement. Après les quelques phrases que vous devez échanger, s’il te plaît Kuro-kun tu ne « buttes » pas la sorcière mais tu « l’occis », vous engagez un véritable combat pour donner un effet plus réaliste. Rappel : Vos armes sont en bois donc il ne faut pas espérer égorger l’autre. Shaolan n’oublie pas que tu dois perdre !
K : Comme s’il pouvait gagner ! Mais pour mes réplique je ne les trouves pas naturelles je préfèrerais parler à MA façon.
F : Non Kuro tu as 3 répliques c'est-à-dire :
« Belle princesse je viens vous délivrer de ce terrible enchantement », « Vile sorcière vos méfaits sont terminés je vais vous occire grâce à cette noble épée. » et « Princesse, je viens vous libérer de l’enchantement mais je crains d’être arrivé trop tard, votre minois est figé, êtes vous morte ? J’espère pouvoir vous ramener à la vie par ce véritable baisser d’amour. » facile non ? Alors ne pars pas en impro complète !!! De plus je te prie d’essayer de te coiffer : prince Philippe ne ressemble pas à un épouvantail à moineaux !!!
K : Pff, n’importe quoi. Regardes toi dans un miroir tu trouve que tu as l’air d’une princesse peut-être ?
Sa : Moi je peux aider M. Kurogané à se coiffer !
F : Merci, je termine juste le breefing…Bon reprenons : Kuro vainc Shaolan puis il se précipite vers le lit où je suis étendue et il m’embrasse, enfin il fait semblant ! C’est clair ? Bon, Kuro-chan laisse Sakura te coiffer, le show va bientôt commencer !

***
Un quart d’heure, de l’eau et beaucoup de patience plus tard.
***

Sa : Voilà !
Kurogané se regarda dans le miroir et fut surpris de voir ses cheveux harmonieusement aplatis sur sa tête. Il ne savait pas que c’était possible.
K : Merci…
Sa : De rien et maintenant dépêchez vous, vous allez être en retard.
K : Mer*e !

Kurogané traversa les coulisses en courant, se prit les pied dans une guitare, trébucha, renversa un autre prince, piétina deux sorcières et arriva essoufflé sur scène. Fye était déjà allongé et Shaolan, caché derrière le lit attendait son heure.

K : « Belle princesse, je viens d’affronter plusieurs centaines de marches et me voici, crevé, que dis-je, recru de fatigue, pour vous délivrer de l’enchantement.

Fye esquissa une très discrète moue de désapprobation. Shaolan, mort de rire, sauta hors de sa cachette, se pris les pieds dans sa cape, se cassa la gu*ule euh non : chut, fit une élégante roulade avant de se camper devant le ninja.

Sh : Te voilà enfin prince Philippe ! Tu n’iras pas plus loin, arrière ! Si tu tiens à la vie renonces à ta princesse !
K : Vile sorcière tes méfaits sont terminés ! Je vais je vais t’oxyder…non c’est pas ça…euh …enfin bref je vais te transformer en passoire !!
Le combat commença. Shaolan armé d’un bâton « magique » affrontait Kurogané armé d’une épée, en bois. Les mouvements, d’abord posés, s’accélérèrent rapidement, car personne ne voulait perdre, jusqu’à devenir presque invisibles aux yeux des spectateurs, impressionnés.
Soudain Sakura poussa un cri.
Shaolan s’arrêta net pour voir ce qui se passait, n’esquiva pas le coup de pied de Kurogané et vola dans un pilier du décor qui tomba sur le lit où « dormait » Fye.
Shaolan assommé, Kurogané se précipita vers Fye et dégagea la poutre. Il trouva le magicien couché, immobile son visage angélique encadrer par une superbe perruque blonde. Son maquillage discret et sa robe bleutée le rendaient magnifique.

K : Sublime princesse, je viens vous libérer de l’enchantement mais je crains d’être arrivé trop tard, votre magnifique minois est figé, êtes vous morte ? J’espère pouvoir vous ramener à la vie par ce véritable baisser d’amour.

Il s’agenouilla et se pencha sur le visage de Fye, sa cape cacha le reste. Il se releva, le visage radieux, Fye ouvrit les yeux :
F : Désormais plus rien ne pourra jamais plus nous séparer.
Le rideau tomba.

***

Kurogané porta Shaolan dans les coulisses et les confia aux bons soins de Sakura. Il se retrouva seul avec Fye.

K : J’ai vraiment cru que je t’avais tué tu étais, si paisible, si froid, si beau…
F : Toi aussi tu es beau quand tu es coiffé. (Su : c’est-à-dire jamais XD)
K :…
… … …

Personne (Su : Enfin pas « personne » dans ce sens mais dans le sens de quelqu'un): Dépêchez-vous de monter sur scène vous devez assister à la remise des médailles !

***

Roi : Pour une excellente connaissance du texte et un jeu convainquant, je décerne la troisième place, et une médaille de bronze, à la troupe : … JASMIN !

F (à Kurogané) : Pour la connaissance du texte on est foutu… « Oxyder », tu aurais pu faire un effort quant même !
K : …

Roi : Pour une excellente connaissance du texte, un jeu convainquant, une très belle interprétation de la chanson « mon amour » et un effort tout particulier dans les costumes, je décerne la 2nd place, et une médaille d’argent, à la troupe :…AURORE !

F : Encore une bonne connaissance du texte ! Il va nous falloir un plan B…
K : Tu peux parler tu n’avais qu’une phrase à dire !

Roi : Pour une bonne appropriation de l’œuvre, une grande personnalisation des répliques et des gestes, ainsi qu’un sens de l’humour très prononcé, je décerne la première place et la plume à la troupe : rantanplanplanplanplanplan *roulement de tambours* (Yume : Inutile de faire monter le suspense on sait déjà qui c’est ! Su : Ah bon ? C’était si prévisible ?) Rantanplanplanplanplanplan (Su: j’en rajoute quand même une couche) : SAKURA !

F (saute au cou de Kurogané) : KYA !
K : Oh ! Un peu de calme s’il te plaît.


***
Plus tard

Roi : Vous êtes sûrs que vous ne voulez pas rester ? Nous avons besoin de comédiens comme vous ici.
Sh : Non, hélas nous devons partir, mais nous reviendrons vous rendre visite !
Roi : Alors je suppose qu’il ne me reste plus qu’à vous dire au revoir et bon voyage !
F+K+Sh+Sa+M : Au revoir !

Puis il disparurent… … ….comme d’hab’ quoi !




Alors ? Bien ? Moins bien ? Pas bien ? Nul ? Catastrophique ? N’hésitez pas à faire des commentaires même pour dire : « c’est nul ! » La fin est pas terrible j’aurais peut-être du m’arrêter à la réplique de Kuro-chan

Pour compléter je poste quelques images que j'ai bricolées avec "paint". C'est vraiment pas du grnad art mais tant pis. Les images de fonds viennent de "la belle aux bois dormant de Walt Disney.


Princesse Fye


Prince Kuro


Le couple


La sorcière Sholan

trooop bien xD !!! les mots sont super bien intégrés !!!! j'adore ! Tu l'ac écrite avec yumyum ?

Non, on s'y mettra à la rentée mais ça risque d'être tout aussi n'importe quoi. Je trouve que les mots sont beaucoup mieux intégrés chez Rin parce que je mon contente, la plus part du temps, de les citer: la passoire, la balançoire et le mouchoir ne sont pas réellement présent alors que chez Rin si.

Superbes montage Su-chan !! tu m'autorise à prendres les images pour moi même ? ^^ Elles sont trop craquantes lol

Tu peux, mais personnellement je les trouve vraiment pas terrible... Et la fic tu en penses quoi?

Moi j'adore ta fic Su-chan j'étais morte de rire en la lisant ^^ Après les montages sont pas supers...Enfin bon c'est normal s'ils sont faits avec paint

C'est clair, pire que paint y'a pas xD mais c'est une bonne idée les illustrations !!!